La permanence publique qui s’est tenue hier, relevait de la réunion de propagande, basée sur la désinformation des citoyens. Elle avait pour seuls objectifs de cocher la case « communication auprès du public » en présence des garantes de la CNDP et, par mépris ou désinvolture, de tenter de vendre leur projet auprès de la population, condamnée à en subir les nuisances.
Le COCETA appelle les élus des « 24 communes » et l’ensemble des élus du Sud Loire à se mobiliser pour multiplier les rencontres de la DGAC et de la Préfecture, dans leurs quartiers, afin que ces services de l’État se confrontent à la réalité des attentes des populations survolées.
Ouvertes à tous, sans inscription, les permanences d’information se tiendront sur les communes volontaires.
Nous exigeons que le format des rencontres du public soit entièrement revu, sur le fond et la forme et qu’une réunion plénière, avec l’intervention des différents composants du territoire – associations comprises, puissent être programmées aussi au cœur de l’agglomération nantaise, sur l’île de Nantes, afin qu’un véritable échange puisse se faire avec les populations concernées !
Nous appelons par ailleurs l’ensemble des Élus à imposer à la DGAC et à la Préfecture de revoir très sérieusement leur copie et que d’autres alternatives soient réellement étudiées ! Que ces rencontres avec les habitants soient une opportunité de réinterroger le territoire, au plus près du terrain, loin des bureaux d’études parisiens.
Pour vous préparer avant de vous rendre à la permanence, le COCETA a publié un pense-bête des questions à poser. Pour y accéder : cliquer sur ce lien.
Avez-vous signé la pétition en ligne lancée par le COCETA?